Oman
12.12.2016 - 3.2.2017
7.2. - 10.2.2017
Das Sultanat Oman ist für mich wie ein sanfter Flügelschlag im Winde, ein zartes Rosenblatt mit Morgentau, eine seidige Orientperle ... ein friedvolles, stilles und wunderschönes Land, in dem ich mich durch und durch wohlfühle.
Teile der grössten Sandwüste der Welt, der Rub-al-Khali (übersetzt das leere Viertel), nur für uns zwei. Eine faszinierende Welt mit mehreren Hundert Metern hohen rot eingefärbten Bergen aus Sand. Atemberaubend schön. Magisch. Pierre tanzt.
Weisse kilometerlange Strände ausser einigen Fischern menschenleer. Faszination pur.
Wadis, Berge und Hochebenen. Hier liegt einem öfter mal die Welt zu Füssen. Ein Highlight für Liebhaberinnen von Felsen, Schluchten, allerlei Gestein und natürlich steilen, engen sowie kurvigen Pisten.
Hunderte von Flamingos, die sich die Bäuche vollschlagen. Auch die aus dem Iran finden sich hier für den Winter ein. Tausende von Sokrata-Kormoranen auf ihrem gemeinsamen Ausflug. Hunderttausende von Möwen geniessen das Strandleben. Reiher stehen wie unbewegliche Silhouetten im Wasser. Bunte Vögel (Indian Roller und Green Bee-eater) setzen Farbtupfer in die grünen Palmenhaine. Ägyptische Geier ziehen in Gruppen ihre Kreise am blauen Himmel. Ich staune, beobachte und mache Freudensprünge.
Krabben aller Art tummeln sich in den Steinen und im Sand. Kleine bunte Fische lassen sich auch vom Land aus sichten. Schnecken oder ähnliches Getier kleben, schleichen und graben sich ein. Eine wahre Freude.
Die Menschen sind freundlich, hilfsbereit, neugierig, tolerant und gleichzeitig zurückhaltend. Auf Masirah, der grössten Insel Omans, schenken uns die Fischer lebende Langusten. Eine Delikatesse.
Einige wenige Besonderheiten seien hier erwähnt.
⦁ Die vielen grünen Männlein kommen nicht vom Mars, sondern mehrheitlich aus Indien, Pakistan und Bangladesh. Sie halten mit Besen und schwarzem Plastiksack
bewaffnet Strände und Städte sauber.
In diesem Land könnte ich noch eine Weile bleiben. Eines ist sicher, das Sultanat Oman lege ich als ganz besonders wertvolles Schmuckstück in meine Reiseschatulle.
Le Sultanat d'Oman me fait penser à une délicate feuille de rose avec sa rosée, une perle d'Orient rare, un oiseau montrant sa couleur magnifique seulement en ouvrant ses ailes ... un pays paisible, silencieux et de toute beauté qui me rend heureuse.
Le désert Rub Al Khali, traduit le quart vide, nous impressionne avec ses grandiose montagnes de sable colorée et sa solitude. Pierre exprime son bonheur en dansant.
Les longues plages blanches vides à part de quelques pêcheurs et des mouettes nous enchantent.
Des Wadis, des montagnes et des plateaux. Souvent nous avons le monde à nos pieds. Un Highlight pour les admirateurs de falaises, de gorges, des pierres de toutes formes et de pistes raide et parfois exposées.
Des centaines de flamands qui se remplissent le ventre d'un buffet bien garni. Ceux de l'Iran passent aussi l'hiver ici. Des milliers de cormorans Socrate qui font leur excursion d'après-midi. Des centaines de milliers de mouettes qui profitent des plages. Des hérons debout dans l'eau comme des statues. Des oiseaux (Indian Roller et Green Bee-eater) colorent les palmiers verts. Les vautours égyptiens tirent leurs cercles sous le fond d'un ciel bleu. Je suis comblée.
Des crabes qui se sauvent de mon ombre autant sur les rochers que dans le sable. Des petits poissons colorés se présentent à l'œil même vu de la terre. Des escargots et d'autres animaux de la même familles se collent sur des rochers, découvrent leur entourage lentement ou encore s'enterrent dans le sable. Un vrai bonheur de les observer.
Les Omanais sont aimables, curieux et tolérants tout en gardant une distance agréable. A Masirah, la plus grande île du Sultanat d'Oman, les pêcheurs nous donnent des langoustes vivantes en cadeau. Une vraie délicatesse.
Quelques particularités omanaises:
⦁ Les nombreux petits hommes tout en vert ne viennent pas de Mars mais de l'Inde, du Pakistan ou encore du Bangladesh. Avec leurs balais et leurs sacs de
poubelle noirs, ils gardent les plages et les villes propre.
⦁ Bleu est la couleur de l'eau. Ainsi les petits et grands camions qui la transportent sont en bleu. Nous les avons arrêtés à plusieurs reprises pour
remplir nos tanks à eau. Une seule fois nous avons payé pour ce service.
⦁ Les épiceries s'appellent "Selling food stuff"
⦁ Les smarties se vendent ici. Les choux-fleurs colorés leur ressemblent et goûtent bon.
⦁ Le cordon sur l'habit traditionnel des hommes, le dishdasha, est parfumé.
⦁ Un équilibre royale est réussi entre les traditions vécues et le modernisme.
⦁ Les touristes sont salués: How are you?
⦁ Les chameaux sont comme les vaches en Géorgie des participants au trafic à prendre au sérieux.
⦁ Les enfants sont souvent amenés à l'école avec des 4X4.
⦁ Le levé de soleil vu différemment. De notre place de camping la falaise du Jabel Shams face au nord nous le démontre.
⦁ A Musandam quelqu'un a versé la sauce au chocolat sur les montagnes.
Je pourrais m'y attarder encore un bon moment dans ce pays. Le Sultanat d'Oman est un rare bijoux et j'en garderai un souvenir précieux.
Les wadis
Après avoir goutté aux dunes avec nos amis palestiniens mais encore plus autour de l'oasis de Liwa, on entame notre séjour à Oman par les montagnes et les
wadis. Ces wadis, appelés oued au Maroc sont des cours d'eau à sec la plus grande partie de l'année. Ils servent donc de route pour pénétrer les montagnes. Le guide « Oman Off-road »
nous est très utile. Il nous permet de choisir les wadis qui sont spectaculaires sans être trop visités.
Les routes omanaises sont excellentes, c'est aussi vrai pour les petites pistes de montagnes que pour les autoroutes. Les petites pistes de terre sont généralement bien entretenues, elles paraissent difficiles mais là où passent les pick-up Toyota, Ursul passe aussi.
Au nord du Jbel Shams, un réseau plus dense de petites pistes permet de passer d'un wadi à l'autre sans revenir sur la route goudronnée. De Yaseb, une route vertigineuse nous ramène vers le vaste wadi As Sahtan. De là, une autre piste encore moins utilisée traverse vers le Wadi Bani Awf. Ce wadi est plus accidenté de sorte que la piste doit le suivre à flanc de montagne vers le joli village de Balad Sayt niché dans la verdure. Un des rares villages ou l'architecture traditionnelle domine encore.
Puis la piste continue sa montée jusqu'au col à près de 2000m. Après une nuit en altitude, on pourrait continuer mais la route est maintenant goudronnée et on choisit plutôt de redescendre et de continuer nos traversée vers Wadi Al Hijayr et Bani Kharus. L'occasion est belle d'aller marcher dans le grand et le petit « Snake Canyon ».
Les pistes du Sud par la Côte
Après l’île de Masirah qu'on a beaucoup aimé on suit la côte vers Salalah. 800 km par une bonne et souvent belle route, mais encore mieux, plusieurs possibilité de pistes par les plages lorsque la route s'éloigne de la mer. Une première section directement sur la plage à marée basse, longe les « Sugar Dunes » toutes blanches parmi les milliers d'oiseaux.
Plus au sud, après Duqm, on peut aussi quitter la route pour la plage à marée basse. Depuis l'étang de Khawr Dhurf jusqu'à la péninsule face au village d'Al Khalil. Entre ces deux sites d'observation des flamands roses, on y croise les pêcheurs qui reviennent avec leur filets bien remplis.
Après la toute nouvelle et spectaculaire route côtière qui coupe les montagnes entre Ash Shuwaymiyyah et Saddah, un réseau de pistes permet de se rendre plus lentement jusqu'à Mirbat. Comme la carte du pays laisse penser qu'on traverse une plaine au pied du Jbel Samhan, c'est la surprise de constater que le terrain est si accidenté que personne n'y vit. C'est trop accidenté pour suivre la mer de proche mais une dizaine de petites baies sont accessible. Si on est seul sur la piste, j'ai pu y plonger avec des milliers de poissons de toutes les couleurs et de toutes les formes et même avec une tortue.
Traversée du Rub-al-Khali
Le Rub-al-Khali, qu'on pourrait traduire par le « quart vide » est le plus grand désert de sable au monde qui couvre une bonne partie des Émirats, d'Oman et surtout de l'Arabie Saoudite. Il nous a impressionné déjà aux Émirats. Mais aussi frustré car à cause des puits de pétrole, l'accès aux meilleurs endroits était interdit. En Oman, c'est plus « relax ». La plus belle partie est au sud-ouest, à la frontière avec l'Arabie Saoudite. La région la plus isoléeet la plus sauvage du pays.
Sur Orthogonale, j'ai longtemps cherché une traversée possible sur GoogleEarth. J'y ai trouvé des pistes, entretenues ou non mais pas de traversée même si je savais que c'était possible. J'ai été heureux d'apprendre que Norbert et Heidi en avait fait la traversée quelques semaines avant nous, seuls avec un Unimog semblable au nôtre. Ils nous ont gentiment fournie la trace gpx et ainsi, on se sent assez confiant pour se lancer. On avait prévu faire leur traversée dans le sens inverse mais l'état de santé de Theresa a changé nos plans. On a du se rendre plus tôt que prévu à Salalah où elle a été opérée. Après une semaine de convalescence à la plage, le chirurgien lui donne son OK. On peut s'essayer mais lentement et prudemment. Une heure de route suivi de trois heures de pose.
On suit le goudron jusqu'au village de Shisr, une oasis en bordure du désert ou se trouve les ruines d'une ancienne cité sur la route des caravanes. On y trouve parfois du diesel mais pas cette fois. La route devient piste mais la tôle ondulée ne facilite pas la guérison de Theresa. En s'approchant des dunes, on peut sortir de la piste et suivre des traces sableuses plus molles jusqu'au petit village de Fasad entouré des chameaux et des dunes. La piste bifurque vers le nord et un poste militaire à la frontière saoudienne. On s'en éloigne pour une première nuit de paix.
Le deuxième jour, on longe la piste à distance en recherchant la douceur du sable. Entre les grandes dunes du Rub-al Khali, on trouve de petites plaines au sol plus dur moins agréable. Lorsque la piste militaire bifurque à gauche, on tourne à droite et le sauvage commence. On voit encore des traces de véhicules mais pas de piste telle quelle. On suit la trace de Norbert. Sans elle, on aurait souvent pris des traces qui ne débouchent pas et on aurait pris beaucoup plus de temps ou on serait tombé en panne de diesel. Pour les deuxième et troisième nuits on est seul face aux étoiles. On roule le plus souvent sur un sol facile mais de temps à autre, pour passer entre deux montagnes de sable, il faut traverser des champs de dune. On cherche alors le meilleur passage à pied avant de se lancer.
Le quatrième jour, on pense le plus difficile derrière nous lorsqu'on s'approche d'une ancienne piste mais celle-ci est depuis un bon moment envahie par les dunes. Même si elles restent petite, il est assez difficile de trouver son chemin, ça fait durer le plaisir. On passe la dernière nuit entourée de ces petites dunes mais aussi d'arbres qui sont nouveau dans le paysages. Avec la tour de communication qu'on aperçoit au loin, le plus sauvage est définitivement derrière nous. Le cinquième jour, on arrive au petit village tout neuf de Marsawad. Une de nos plus belle traversée, bravo Theresa.
Die Wadis
Nach dem Besuch der Dünen mit unseren palästinensischen Freunden und in der Gegend der Oase Liwa, beginnen wir unsere Reise im Oman in den Bergen und Wadis. Diese
Wadis sind Flussläufe, die meistens nur für sehr kurze Zeit Wasser führen. In Marroko nennt man sie Oued. Sie dienen als Weg, um weiter in das Innere der Bergketten vorstossen zu können. Der
Führer "Oman Offroad" ist für diese Entdeckungstouren sehr nützlich. So finden wir spektakuläre Wadis, die jedoch nicht zu den grossen Touristenattraktionen gehören.
Die Strassen im Sultanat Oman sind ausgezeichnet. Das gilt ebenso für die kleinen Bergpisten wie für die Autobahnen. Die kleinen Naturstrassen werden meistens gut
unterhalten. Manchmal scheinen sie zwar schwierig zu befahren sein, aber wo die Toyota Pick-ups durchkommen, schafft es auch Ursul.
Nördlich des Jebel Shams ermöglicht ein Netz von Pisten von einem Wadi zum andern zu gelangen, ohne zurück auf die geteerten Strassen zu müssen. Von Yaseb aus
fahren wir erst einmal auf einer schwindelerregenden Strasse zum breiten Wadi As Sahtan. Von dort aus geht es weiter auf einer wenig genutzten Piste zum Wadi Bani Anf. Diese führt einer
steilen Felswand entlang zum hübschen Dorf Balad Sayt mit seinen grünen Palmenhainen. Eines der wenigen Dörfer, in dem die traditionelle Architektur noch dominiert.
Weiter geht es zu einem Pass auf ca. 2000 m. Nach einer Nacht in der Höhe könnten wir zwar auf einer geteerten Strasse weiterfahren, entschliessen uns jedoch auf
der Piste wieder hinunterzufahren, um weiter auf Naturstrasse zu den Wadis Al Hijayr und Bani Kharus zu gelangen. Eine schöne Gelegenheit Teile des grossen und kleinen "Snake Canyon" zu
entdecken.
Die Pisten im Süden der Küste entlang
Nach der Insel Masirah, die uns gut gefallen hat, folgen wir der 800 km langen Küste nach Salalah. Der guten und oft auch schönen Strasse kehren wir immer wieder
den Rücken zu und profitieren von den befahrbaren Stränden. Ein erster Teil führt entlang der weissen Sugar Dunes. Ein Genuss bei Ebbe.
Südlich von Duqm verlassen wir die Strasse wiederum. Wir fahren bei Ebbe vom Teich Khwar Dhurf bis zur Halbinsel gegenüber des Dorfes Al Khalil dem Strand
entlang. Zwischen diesen zwei Orten beobachten wir rosa Flamingos, begegnen wir einigen Fischern, die ihre mit Fischen prall gefüllten Netze entleeren.
Der folgende Teil der neuen Strasse ist spektakulär. Sie führt durch die Berge zwischen Ash Shuwayymiyyah und Saddah. Dank einem Netz von Pisten nähern wir uns
möglich Mirbat gemächlich. Auf der Landkarte erscheint dieser Teil der Küste als eine Fläche am Fusse des Jebel Samhan. Umso überraschter sind wir das bergige Terrain zu entdecken, in dem kein
Mensch lebt. Es ist nicht möglich der Küste direkt zu folgen, jedoch sind mehrere Buchten erreichbar. Auf der Piste sind wir alleine, das Meer teile ich jedoch beim Tauchen mit Tausenden
von Fischen verschiedenster Farben und Formen. Sogar einer Schildkröte begegne ich.
Queren der Rub-al-Khali
Die Rub-al-Khali, übersetzt das leere Viertel, ist die grösste Sandwüste der Welt. Kleinere Teile liegen im Sultanat Oman und den VAE. Der grösste für uns nicht besuchbare Teil liegt in Saudi-Arabien. Bereits in den Emiraten hat sie uns fasziniert. Aufgrund der vielen Bohrungen sind die interessantesten Teile jedoch abgesperrt. Im Sultanat Oman ist der Zugang einfacher und entspannter. Der schönste Teil der Rub-al-Khali liegt im Südosten an der Grenze zu Saudi-Arabien. Der einsamste Flecken Omans.
Auf Orthogonale habe ich lange nach einer Piste gesucht, die es ermöglicht, diesen Teil der Rub-al-Khali zu queren. Ich habe nur solche gefunden, die ins Innere
vorstossen. Welch ein Glück, Heidi und Norbert, die dieses Abenteuer mit ihrem Unimog einige Wochen zuvor erfolgreich bestanden hatten, stellen uns ihre GPX-Aufzeichnung zur Verfügung. Eigentlich
hatten wir vor von Norden nach Süden zu fahren. Der Gesundheitszustand von Theresa erlaubte dies jedoch nicht. Sie musste in Salalah operiert werden. Nach einer Woche gibt der Chirurg das OK für
die Weiterreise. Langsamkeit und Vorsicht prägen sie. Eine Stunde Fahrt gefolgt von drei Stunden Pause.
Erst folgen wir einer geteerten Strasse bis zum Dorf Shisr, einer Oase am Rande der Wüste. Hier findet man die Ruinen einer alten Karawanenstadt. Manchmal kann man hier auch Diesel tanken. Heute sind die Tanks aber leer. (Anmerkung vn Theresa: Keine Sorge unsere Tanks sind zu 99,9% voll.) Ab hier wird die Strasse zur Wellblechpiste. Eine schlechte Voraussetzung für den Heilungsprozess von Theresa. Endlich können wir diese verlassen und auf weichem Sand bis zum kleinen von Dünen und Dromedaren umgebenen Dorf Fasad fahren. Von dort aus biegt die Piste in Richtung Norden ab und führt zu einem Militärposten nahe der saudi-arabischen Grenze. Wir verlassen sie für eine erste Nacht in absoluter Stille.
Am zweiten Tag gibt uns die Piste zwar noch die Richtung an, wir fahren jedoch auf dem weichen Sand weiter. Zwischen den grossen Dünen der Rub-al-Khali queren wir
kleine harte Flächen. Bald schon biegt die Piste links ab und wir drehen rechts ab. Nun sehen wir nur noch Spuren von Fahrzeugen, die hier durchgefahren sind. Es gibt keine eigentliche Piste
mehr. Wir folgen der aufgezeichneten Spur von Norbert. Ohne diese würden wir des Öfteren in die falsche Richtung fahren und riskieren, plötzlich ohne Diesel mitten im Nowhere zu stehen.
Meistens ist das Gelände einfach zu befahren, von Zeit zu Zeit jedoch fordern uns die Sanddünen heraus. Zwischen zwei härteren Flächen liegen kleinere Dünen, die es zu queren gilt. In diesen
Fällen wird erst einmal die beste Passage zu Fuss gesucht. Für die zweite und dritte Nacht sind wir alleine mit einem strahlenden Sternenmeer.
Am vierten Tag nähern wir uns einer alten Piste und glauben den schwierigsten Teil hinter uns zu haben. Wir haben uns getäuscht. Junge Dünen haben die Piste über
weite Teile unter sich begraben. Die Suche eines Weges durch diese nun kleinen Dünen dauert, verlängert aber auch unser Vergnügen in dieser Gegend zu weilen. An unserem letzten Nachtplatz in der
Rub-al-Khali sind wir umgeben von diesen kleinen Dünen und von neu in der Landschaft aufgetauchten Bäumen. Mit der Sichtung eines Kommunikationsturmes meldet sich das Ende dieses Abenteuers an.
Am fünften Tag erreichen wir das kleine Dorf Marsawad.
Eine unserer schönsten Querungen. Bravo Theresa.